Diégo venant rendre visite à Pasteur
On te reproche, Louis – longtemps après ta mort, bien que chimiste presque honorable (conseils à des industriels à Lille, à un brasseur de Copenhague) mais c’est à peu près tout, – d’avoir critiqué des chercheurs et savants, puis de t’être emparé de leurs travaux. La découverte des ferments ce n’est pas toi. La Pasteurisation ce n’est pas toi, le rôle des organismes dans la maladie ce n’est pas toi mais Davaine, la création des vaccins anti-bactériens non plus. La création du vaccin contre la rage, une véritable catastrophe, enfin ta victoire sur le charbon du mouton un véritable coup de pot (le bichromate de potassium introduit dans le vaccin avait des coordonnées opposées au charbon et ce ne fut point toi qui sauva la mise à Pouilly-le-Fort; méthode d’ailleurs de Toussaint adoptée par Chamberlan et Roux tes adjoints). Tu fus qualifié de faussaire, un sens critique peu développé, une confiance exagérée en toi, un orgueil démesuré. Tu es catalogué comme un cynique menteur (s’attribuer la découverte du parasitisme du ver à soie par la pébrine, alors que tu prétendais auparavant que ceux qui pensaient ainsi étaient des fous ! Tu es vraiment gonflé pauvre Louis ! De plus un plagiaire et voleur de travaux scientifiques dont ceux d’Apper. Pour clôturer l’ensemble, un tyran paranoïaque, un assassin sans scrupule sur des centaines de personnes dont des paysans Russes, un lord anglais, des petits français soi-disant contaminés par des chiens enragés. Beaucoup, vaccinés par ta saloperie de vaccin, mourant dans des souffrances atroces. Tu méritais la Cour d’Assise et tu y échappas grâce à la complicité d’un de tes amis médecin.
Louis
Qui donc t’a instruit à ce sujet, tu as l’air bien au courant !
Diégo
Quatre personnes et pas des moindres, puisqu’il s’agit de ton propre neveu le Dr Loir, qui a tracé certains tableaux sur ta vie au laboratoire. Il ne t’apprécia guère ! Puis plus près de nous Philippe Decourt membre de l’Académie Internationale d’Histoire de la Médecine dans son livre » Les vérités indésirables » Volume I deuxième partie « Comment on falsifie l’histoire: le cas Pasteur. Enfin, le Dr Eric Ancelet, vétérinaire ayant écrit « Pour en finir avec Pasteur », portant une critique fondée et globale sur tes travaux et ta théorie sur le monomorphisme épouvantable erreur entraînant la science sur des chemins sans issus au point qu’aujourd’hui, les enfants nés après 1939 n’ont plus la même bonne santé que leurs prédécesseurs, (1938 ou 1939 années où les vaccins furent rendus obligatoires). Je laisse dans l’ombre pour l’instant le Professeur J. Tisot et le Dr Quiquandon qui te tiennent rigueur de toutes tes gaffes et idées pour le moins farfelues et de ce fait criminelles. En biologie on n’improvise pas, on recherche, on observe, on tâche de comprendre avec une perpétuelle remise en question de ses propres avancées.
Louis
Ainsi a-t-on écrit autant sur moi !
Diégo
Tu aurais davantage de détracteurs si René Valléry-Radot ton gendre n’avait écrit sur toi et passé les découvertes de Béchamp 5 fois plus titré que toi, ceux d’Estor et Balbiani sur ton propre compte. Au XX siècle, ton petit-fils enseigna que tu fus le découvreur de la pébrine, maladie parasitaire du ver à soie, découverte pourtant faite par Béchamp et 2 autres chercheurs. Voilà pourquoi — ton arrière petit-fils aidant en répétant les fausses légendes (René Maurice Vallery-Radot) — les dictionnaires, les encyclopédies, l’Histoire de la médecine te dépeignent comme un homme glorieux. Quant à moi, permets-moi de penser que tes descendants ne sont que des hommes qui ont été sollicités par des gens haut placés pour perpétuer des mensonges dans l’intérêt …. des gros laboratoires ! Mais je ne terminerai pas mon accablante accusation sans garder une note positive sur les vaccinations. Si les maladies, les épidémies se sont souvent produites en période de famine, disette, de guerres et de manque d’hygiène il faut que tu saches ceci.
Bien que les vaccins soient à mon avis des techniques hasardeuses, dangereuses, handicapantes voire mortelles parce que non hygiéniques, dogme des anticorps, je me soucie de notre condition dans le cas où reviendraient des épidémies provoquées par l’homme de labo tellement vénal surtout dans cette société actuelle. Que ferais-je, que ferions-nous si l’on nous obligeait à être vaccinés lors d’une pandémie ? Comme il n’a jamais été prouvé scientifiquement de l’efficacité des vaccins, me revient à la mémoire un fait historique, sans doute véridique, narré par le Dr Eric Ancelet « Pour en finir avec Pasteur » page 67 de son livre.
» Le génial empirisme de Jenner, malgré les désillusions, les encéphalites mortelles lors de la transmission d’homme à homme en l’absence de bovin infecté (vacciner contre la variole avec le cow-pox, maladie cousine bénigne de la vache permettait de protéger efficacement contre la variole; ce fut l’exception positive) eut de graves conséquences dont 2 victimes célèbres, le fils de Louis XVI et l’Aiglon. Le retour cyclique de cette épidémie foudroyante de variole comme ce fut le cas en 1870 permit de comprendre que l’exception ne confirme pas la règle.
Ainsi Collet, prêtre et médecin affronte à cette époque, les massacres de la Commune, les fléaux découlant d’un manque d’hygiène et de pénurie alimentaire. Face à cette épidémie de variole et ne disposant que d’un nombre infime de vaccin, le Dr Collet recourut aux dilutions infinitésimales. Les malades guérirent et aucun cas de contagion ne fut constaté à partir du 5 ème jour de la prise du vaccin dilué ».
Cette histoire sans doute exacte, renforce mon opinion. Des personnes ont eu intérêt à ce que ce procédé ne soit pas connu. Pour quelle raison ? Tu vois Louis, je pense que la France a toujours eu des fils extraordinaires dont tu fais partie sur le plan négatif. Voudrait-on empêcher que ce peuple rebelle et indépendant de nature devienne doux et grégaire afin que puisse s’établir un gouvernement mondial autoritaire où ne serions que des esclaves consommateurs détruits par les vaccinations ?
Avant de te quitter Louis et regagner le sol du dessus (je suis toujours bien vivant) je te pardonne au nom de la société amoindrie, handicapée par tes fantaisies biologiques. Saches, toi et ceux qui t’on encensé afin de servir leurs intérêts, qu’ils retrouveront toujours sur leur chemin des êtres fiers, conscients et farouches pour dénoncer leurs actions démoniaques.
Cette légende permettra à chacun de se poser des questions sur Pasteur, l’histoire et sur Diégo Der, homme simple mais de bon sens, révisionniste sans le savoir. Ah, si l’histoire nous était comptée comme elle s’est réellement passée, nous en ferions une gueule! Diégo Der
Pasteur etait-il juif?